• ...pour la grande foire organisée... On va de nouveau être complètement bourré... Vivement 2005.

    Salut et merci à Koenig.


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  • De fantasmes en soupirs,
    De pleurs en sourires,

    Depuis hier je me balade dans vos blogs les plus secrets, pénétrant les recoins les plus obscurs, les plages les plus ensoleillées, les délires les plus fous.

    Je découvre, j'invente, je suppose, j'extrapole, plus rien ne ressemble à rien, tout se recrée et se redéfinit comme un nouveau monde qui s'entrouvre.

    J'aime ces mots qui se promènent, cette tendresse qui se répand entre les lignes, la magie derrière les mots.

    Première découverte des blogs, je ne connaissais pas, mais je sens que je vais m'y plaire...

    Un seul regret (remarque de vieux con peut-être ?), une bonne partie de ce monde m'est inaccessible, je n'ai pas la patience (et encore moi l'envie) de déchiffrer cette nouvelle orthographe...

    Mais pour le reste, déjà, merci :-)

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  • Beuh, Alex s'est de nouveau levé à six heures en réveillant inévitablement toute la maison,
    y'a plus de café,
    il fait un froid de canard (faudrait repenser l'étanchéité de l'appart') 
    j'ai pas encore envie de sortir,
    apparemment le voisin à décidé d'installer aujourd'hui sa monstrueuse bibliothèque à grands coups de perceuse-frappeuse,
    et je sais toujours pas quoi faire à bouffer le 31,
    ben voilà une journée qui commence bien :-)

    Alors, je laisse la place à ma p'tite soeur:

    Le Souffle

    Le dernier détachement du corps.
    Là, juste un souffle qui s'exhale,
    Comme la flamme d'une bougie,
    C'est le dernier lien qui s'effile
    et qui se rompt, libérateur,

    C'est comme un parfum de pommier,
    Une douce effluve de l'été
    Un petit bout d'éternité,
    qui retourne à son Entité.

    Le retour de l'âme au Seigneur,
    Après tant de luttes acharnées
    Après les râles de révolte,
    Derniers souvenirs du malheur,
    La joie de la paix retrouvée.

    Enfin, dans la sérénité,
    La flamme a rejoint le buisson.
    Et dans la lumière divine,
    Le souffle rentre à la maison.

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  • Parce que cela fait juste une année. Un petit souvenir

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  • Ben fallait bien qu'ils arrivent sur le tapis, alors autant que ce soit maintenant, histoire de bien terminer l'année, de feuilleter les albums du temps qui passe pour pouvoir essayer (enfin !) de les enfermer dans un tiroir.

    Le but n'est pas de les oublier, mais simplement de ne les ressortir que de temps en temps, simplement pour revoir une photo oubliée, s'émerveiller sur un souvenir, un brin de tendresse au coin du cœur, un sourire un peu nostalgique sur les lèvres, mais sans regret ni tristesse... Apprécier le temps qui passe, comprendre que le temps a passé, que la vie continue et que d'autres histoires peuvent maintenant commencer.

    J'ai toujours eu un problème avec les adieux, que ce soit après dix ans, deux ans ou six mois, que ce soit l'autre ou moi qui parte, chaque fois l'impression que le monde s'écroule et que rien jamais ne pourra exister à nouveau.

    Oui, je sais c'est banal, mais j'ai jamais dit que j'allais me lancer dans des essais philosophiques ! Alors pour ne pas regarder la vie en face, après une rupture je gardais tout, le bon, le mauvais, le pire, le mieux sans rien lâcher en pensant que peut-être rien n'était jamais définitif, que peut-être un jour qui sait...

    Franchement, comment peut-on vivre comme ça ? Rien n'est jamais fini, ne pas accepter l'inexorable... En fait vivre continuellement de manière malhonnête avec soi-même. Comment commencer quelque chose lorsque l'on tient toujours à ce qui fut ?! Cette impression que rien n'est jamais parfait, que c'était mieux « avant », on en arrive à ce dire que le mieux serait de tous les garder !

    Et malgré ça on repart comme en quarante pour le grand jeu de la séduction, pour les soupirs et les passions, pour la vie à deux alors qu'il y en a encore d'autre qui te traînent dans la tête, que tu n'arrives pas à oublier...

    Faudrait quand même que j'arrive à refermer tout ça, à comprendre que l'avenir c'est devant avec l'autre qui est là maintenant, qui t'attend.

    Ben Ok, je promets rien mais cette fois, sérieusement, pour toi, je vais essayer...

    Mais avant, juste avant d'essayer de tout refermer, un dernier regard enrobé de douceur, de tendresse et de caresses...Saya...


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