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Et cela me fait rire, allez savoir pourquoi, comme un sourire que l'on retrouve. Me sens parfois vraiment comme un gamin ébloui par un feu d'artifice. J'aime les jeux de miroirs. Alors, juste une envie de jeter quelques mots sur le papier (écran), comme ça, pour rien, sans avoir d'idée précise.
Et de sourire béatement (bêtement ?)...
Et partager les quelques accords qui me parviennent aux oreilles...El tiempo pasa
Nos vamos poniendo viejos
Yo el amor
No lo reflejo como ayer
En cada conversación
Cada beso cada abrazo
Se impone siempre un pedazo
De razónVamos viviendo
Viendo las horas
Que van pasando
Las viejas discusiones
Se van perdiendo
Entre las razones
Porque años atrás
Tomar tú mano
Robarte un beso
Sin forzar el momento
Hacía parte de una verdadPorque el tiempo pasa
Nos vamos poniendo viejos
Yo el amor
No lo reflejo como ayer
En cada conversación
Cada beso cada abrazo
Se impone siempre un pedazo
De razónA todo dices que sí
A nada digo que no
Para poder construir
Esta tremenda armonía
Que pone viejo los corazonesPorque el tiempo pasa
Nos vamos poniendo viejos
Yo el amor
No lo reflejo como ayer
En cada conversación
Cada beso cada abrazo
Se impone siempre un pedazo
De temor
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... Quero a vida sempre assim
Com você perto de mim
Até o apagar da velha chamaE eu que era triste
Descrente deste mundo
Ao encontrar você eu conheci
O que é felicidade, meu amor...À C, P-A, et A... Et pourquoi pas aussi D, C, N et T... :-)
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Juste un endroit calme pour reposer...
Avec un sourire à peine dissimulé...
C'est là...
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Ce fut une histoire de passion
De celles qu'on dit fusionnelle
Où l'on se mêle, où plus rien n'existe que le regard de l'autre
Où le bien s'enchevêtre à la douleur
A trop aimer on aime parfois à se faire malCe fut une histoire longue
De celles qui durent plus d'une décennie
D'ivresse au quotidien, d'étranges partages de chaque instant
Où de deux on ne fait plus qu'un
A trop se serrer, on se perd pour oublier d'existerCe fut une histoire marquante
De celles qu'on cite quelquefois en exemple
Qui accompagnent durant les importantes étapes de la vie
Présente dans chaque souvenirs forts
Qui rayonnait pour englober le voisinage
Même si à trop se regarder, on oublie parfois de tendre la mainAlors la déchirure fut violente
Un tourbillon qui éclabousse et qui déchaîne
Partir pour revenir et repartir
Tout laisser en se disant 'je t'aime'
Tout détruire pour espérer reconstruire
A trop lier on ne sait plus briser les chaînes
Et l'on perd tous ses repèresEt puis un jour, on se réveille avec un autre corps à ses côtés
On découvre un autre regard où l'on pourrait plonger
Et doucement on recommence une autre histoire
En réalisant que hier peut enfin faire place à demain
Que même s'il en reste encore trop de traces
Le lien s'est finalement brisé
Enfin...
Wow, qu'est-ce que je m'amuse... J </span />Ferais mieux de bosser....
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Je vis dans un pays au régime politique obscure mais amusant, dit de démocratie directe (ou semi-directe selon les goûts, plus correct en fait). Ici, les mots 'referendum' (obligatoire ou facultatif) et 'initiative' (parlementaire ou populaire) font partie du quotidien et quatre ou cinq fois par année le bon petit peuple helvétique se rend en masse aux urnes (enfin, en masse... la participation excède rarement les quarante pour cent) pour donner son avis sur tout et n'importe quoi.
De plus, ce merveilleux pays est un conglomérat de 26 états, chacun avec sa législation, sa constitution, ses us et coutumes, mais unis au sein d'une seule confédération (ça vous rappelle quelque chose ?).
Bon, je ne vais pas faire un cours de civisme suisse, ni l'envie ni le temps, et d'ailleurs même ici les gens n'y comprennent rien (vous en connaissez beaucoup de pays où à peine trois personnes sur 10 connaissent le nom de son président ? Bon d'accord, ça change chaque année, mais quand même...).
Ceci pour dire que, alors que nos voisins de l'hexagone s'embourbent dans leur referendum du 29 mai, les petits suisses commencent à s'entredéchirer pour leurs votations du 5 juin.
Deux sujets à l'ordre du jour : la création d'un pacs au niveau fédéral (qui existe déjà dans certains cantons mais pas au niveau national) et l'adhésion à l'espace de Schengen. C'est évidemment celui-ci qui déchaîne les passions (bon, nous sommes en Suisse, le terme 'déchaîner' est tout relatif). En ce qui concerne le pacs, mis à part quelques vieux montagnards barbus, tout le monde est prêt à l'accepter. Mais Schengen...
Attention, ce n'est pas une adhésion (terme honnis en politique helvétique, parce qu'inévitablement associé à l'Union Européenne et ça... brrr, c'est un sujet dangereux) mais une association, un compromis typiquement suisse où l'on réussit souvent à obtenir le bénéfice et à rejeter le reste.
Mais ici, comme ailleurs, les gens n'ont pas compris la question.
Et ce vote risque à nouveau de se transformer en un référendum pour (ou contre) l'Union Européenne. Et une fois de plus on risque de ne plus se comprendre, le pays va se diviser... L'est contre l'ouest, les latins contre les germains, les villes contre les compagnes.Un débat télévisé hier soir nous l'a prouvé encore une fois. Personne n'écoute personne et chacun parle de quelque chose de différent. Cela serait particulièrement drôle si cela n'en devenait de plus en plus navrant. L'avantage, c'est que peut-être que tout cela va permettre à ce pays d'abandonner sa politique systématique du consensus (très bien en soi, tout le monde est content, mais détestable puisque en même temps tout le monde est mécontent) qui bloque de nombreux aspects de la vie de la confédération.
Alors il est assez amusant de faire le parallèle avec la France, de voir que ici comme ailleurs les gens ne comprennent que ce qu'ils veulent bien voir, que l'on réagit plus souvent avec les tripes qu'avec la tête.
Loin de moi l'idée de faire un texte politique, mais ayant la chance de connaître les deux systèmes et les deux 'mentalités' (pour autant qu'on puisse ne parler que de deux...), il est particulièrement intéressant de comparer, spécialement en ce moment.
Voilà, ça veut dire quelque chose tout ça ? Je n'ai pas le courage de relire...
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